mardi 26 septembre 2023

Les manifestations de la crise haïtienne dans l’Université d’État d’Haïti.

 

Résumé: Cet article aborde la question de l’enseignement supérieur en Haïti dans un contexte de crise permanente et aiguë. Il fait dans un premier temps, une analyse sur les impacts et les manifestations de la crise haïtienne basée sur la précarité de la situation et la qualité de vie à laquelle est soumise la population. Parallèlement, il contient une analyse similaire à celle soutenue pour la crise haïtienne sur l’impact de la crise dans les universités notamment, l’université publique haïtienne.

Mots-clésEnseignement Supérieur, l’université publique, précarité, crise permanente et aigüe.

Sous-titre 1:

·       Présentation des différents aspects de la crise Haïtienne particulièrement, celle de l’UEH.

Depuis près de 30 ans, le pays patauge dans des crises multiformes et multidimensionnelles qui ne font que ruiner davantage les chances liées à la capacité des Haïtiens à proposer des solutions relatives aux problèmes du pays. En effet, depuis l’indépendance en 1804, les situations de crises se répètent au point de devenir cyclique, mises à part quelques grandes périodes historiques qui avaient permis de trouver des solutions grâce aux efforts commun et le dépassement de soi. Depuis, on assiste à une perpétuelle crise marquée par des divisions, de violences, de vides institutionnels et de destructions qui ont tendance à se répéter même en période de stabilité apparente. Aujourd’hui encore, nous vivons le résultat d’une continuation d’une longue série de bouleversements qui à chaque fois plongent le pays au plus bas et dans une désolation toujours plus grave.

Beaucoup de gens qui réfléchissent sur la crise haïtienne estiment que la problématique est si complexe et difficile qu'il faudra beaucoup de temps pour enrayer ce mal qui ronge toutes les couches, sans distinction, d'une population fatiguée d'une insécurité mutante omniprésente. Effectivement, cette complexité ainsi que cette difficulté des problèmes auxquels fait face le peuple haïtien demandent des réflexions mûries pour pouvoir en venir avec des solutions efficaces capables de sortir le pays de cet enfer. Mais, cela fait plusieurs décennies que le pays dégringole davantage dans la pauvreté et l'insécurité ; aujourd'hui, le peuple haïtien traverse l'un des moments les plus difficiles de son histoire. La faim, l'insécurité sous toutes ses formes notamment, le recours par les bandes armées au blocage des voies de circulation pour inspirer la terreur au sein de la population civile. À cet effet, on compte; meurtres, viols, vols, enlèvements, un déchaînement de la nature et tant d'autres maux socio-politiques qui traquent la population au plus fond de ses entrailles, la rabaissant ainsi à l'état infra humain. Il y a également, la présence de bandes armées qui resserrent leur emprise sur des zones stratégiques en y intensifiant la violence. Le terminal pétrolier de Port-au-Prince est notamment touché, ce qui a empêché la distribution de carburant débouchant sur des conséquences désastreuses pour le monde des affaires, des écoles et des hôpitaux. Elle a engendré des pénuries de produits de première nécessité, comme l’eau, et des problèmes d’accès aux télécommunications. Il faut également prendre en considération la question des cas de manifestations répétées en Haïti, où les écoles et les universités publiques et privées sont dans la plupart du temps fermées en raison de la colère populaire contre la misère et l’insécurité qui prend un accroissement considérable.

 Les groupes armés criminels exercent une forte emprise sur la vie économique et sociale de millions d’enfants, d’hommes et de femmes en recourant aveuglément et sans pitié aux enlèvements, aux meurtres, vols, viols sexuels et sexistes comme moyen de terroriser la population locale et d’étendre leur violence odieuse.

Par conséquent, l’armée et la justice se délitent devant l’ampleur de la situation.

 

Sous-titre 2 :

·       Impact de la crise haïtienne sur le fonctionnement de l’UEH.

L’Université est une institution d’enseignement supérieur et de recherche constituée de plusieurs établissements. Sur le socle que constituent la formation et la recherche, l’Université place au cœur de ses missions la diffusion de la culture scientifique. On attribue aussi une fonction sociale à l’Université, celle de rendre service à la communauté. Vu sous cet angle, l’Université, à travers ses recherches et la formation qu’elle dispense, doit contribuer à l’avancement et le progrès de la société. En Haïti, comme partout ailleurs, il existe des Universités privées et publiques. A l’heure actuelle, l’Université d’Etat d’Haïti (UEH) est celle qui est la plus en vue. En effet, elle a perpétué la création de communauté productives d’apprenants et de savants et continue d’influer sur les attentes de la société et d’en subir l’influence. A cet effet, certaines affirmations laissent penser que l’Université d’Etat d’Haïti est confrontée parallèlement à la société à une situation de crise qui tend vers un accroissement considérable chaque jour qui passe.

Au cours de l’histoire, les universités ont été l’objet d’une lente et longue évolution. La définition et la finalité de l’université ont toujours fait l’objet d’un débat très contrasté. La réalité historique, que l’on appelle « l’Alma mater studiorum », trouve son apparition au tournant du XIIe et XIIIe siècle, dans les villes les plus grandes de l’Europe. À cette époque, le problème de gouvernance dans les universités a fait l’objet de grandes réflexions dans l’agenda de la recherche. Avec l’évolution de la technologie et l’explosion des effectifs étudiants, les universités sont confrontées à l’heure actuelle à de multiples problèmes qui suscitent entre autres le questionnement de son rôle.

En effet, par sa vocation, elle permet et facilite la transmission des savoirs scientifiques. Tant que l’université perpétuera la création de communautés productives d’apprenants et de savants, il continuera d’influer sur les attentes de la société et d’en subir l’influence.

Ainsi, la crise haïtienne est à analyser dans ses différents aspects et profondeur, mais sa nature intellectuelle sera la plus cruciale et la plus importante pour nous au cours de cet article. La crise transversale qui prévaut depuis un certain temps dans le pays affecte considérablement le fonctionnement des différents secteurs de la société haïtienne. Une telle situation n'épargne pas les universités compte tenu du poids important que cette dernière occupe dans la balance sociétaire. En effet, chaque jour, il y a une amplification et une détérioration d’un climat de terreur qui affecte non seulement la santé physique mais également, la santé mentale des professeurs et des étudiants. Ce qui compromet la transmission et l’acquisition du savoir dans les espaces universitaires. Comment la crise se manifeste au sein de l’université plus particulièrement, au sein de l’Université d’Etat d’Haïti?

Il y a une catégorie dans la société qui est très affectée par la crise économique actuelle, mais elle a rarement pris la parole ces dernières années: ce sont les étudiants.  Dans un contexte où premièrement, des professeurs cherchent des opportunités à l’étranger en quittant le pays et en abandonnant l’UEH. Secondement, une quantité considérable d’étudiants confrontés à la misère et l’instabilité politique sont d’autant plus intéressés à quitter le pays suite à l’annonce du programme de Biden. Entre le coût du transport et la cantine, la galère semble être bien réelle pour eux. Ainsi, L’impact de l’augmentation des prix du transport sur les universitaires, en particulier chez ceux résidant à des dizaines de kilomètres des universités fait craindre le pire car, ces derniers sont confrontés à toutes sortes de dangers lorsqu’ils se rendent à l’université compte tenu des différentes conséquences qui découle de cette crise transversale que connaît Haïti.

L’un des plus grands impacts de la crise économique sur les étudiants est le chômage. Il n’y a pratiquement pas d’emplois pour les étudiants. Toute la charge économique se retrouve sur les épaules des parents qui, eux-mêmes, affrontent chaque jour la crise. En plus, la question de la cantine est fondamentale pour un étudiant, or, elle tend depuis quelque temps à devenir un luxe que les étudiants ne peuvent se procurer. Il y a également, la question liée à l’inflation des prix de transport qui ne cessent d’augmenter de jour en jour.

Un autre problème de l’université s’est lié à sa structure c’est-à-dire, l’éducation supérieure, partant du rôle qu’il doit remplir, cette dernière doit être considérée comme un investissement et non comme une dépense. Ce faisant, il faudrait remanier et renforcer le corps professoral par des personnes compétentes et également renforcer la formation au niveau fondamental et au nouveau secondaire (en amont). Car, si les étudiants sont mal formés à ces niveaux, l’université aura de la difficulté à se doter d’étudiants intelligents qui deviendront à l’avenir des professeurs compétents.

 

Bref, sans prétention d’avoir analysé de manière exhaustive, nous avons montré l’urgence et l’ampleur de la situation actuelle du pays. Ce faisant, nous avons énuméré les différentes manifestations de la crise et l’impuissance de l’UEH face à la situation de crise permanente qui sévit depuis une bonne trentaines d’années dans le pays. Nous avons également démontré comment la situation de crise impacte considérablement sur le fonctionnement de l’UEH et sur le rôle qu’il est censé remplir au sein de la société. Compte tenu du fait que, l’Université, se trouve également confrontée à cette situation transversale qui touche à peu près toutes les catégories et couches sociales, cette dernière, se trouve dans l’incapacité d’opter dans la recherche scientifique pour trouver des pistes de solutions adéquates aux problèmes qui démangent le pays et qui plongent considérablement l’université au plus bas. À ce stade résulte une similarité entre la crise à l’UEH et celle qui existe dans le pays. Par conséquent, une question se pose, à quand l’UEH pourra renaître ?

 

Bibliographie et Sitographie

TOUSSAINT Hérold, L’idée d’Université expliquée aux étudiants, Média Texte, Port-au-Prince, 2016, pp 240

Cain.info, Google scholar, Alterpresse, la toupie. Fr, le Nouvelliste.

Pierre Toussaint, Quelle Université pour Haïti dans la perspective de sa reconstruction?

 Jean Anil Louis-Juste, Haïti : Jeunesse, Universités et Société, 2004, pp 35

 Elieth Eyebi, université d’Abomey-Calavi(Bénin), Lasdel et Transpol Canada; Dr en sociologie Anthropologie. (De l’attractivité Universitaire en contexte de crise : réflexions sur les mobilités des étudiants) haïtiens en Afrique dans la gestion de l’après-séisme de 2010

www.https:journal.openedition.org/étudescaraibeennes

N.B: l’ensemble de ce travail est réalisé grâce à la consultation de sites et d’ouvrages.


@Cynthia MAXI, Staff Communication BDN























lundi 11 septembre 2023

LA MONOPARENTALITÉ


La vie n'est pas un long fleuve tranquille et tout ne se passe pas toujours comme prévu. Certains enfants ou foyers sont confrontés au concept de la monoparentalité, de plus en plus fréquent de nos jours. Elever seul(e) un ou des enfants est une tâche difficile au quotidien mais toutefois qu'on puisse arriver à gérer courageusement et avec beaucoup d'organisation. Mais quel peut être pour autant l'effet que la monoparentalité provoque au sein d'une famille. Que subissent celles-ci relativement au fil des jours et des années?  Avoir un foyer monoparental est le fait pour un enfant de ne vivre qu'avec l'un de ses deux parents quotidiennement. Et ce pour quelque raison choisie ou subie, à la suite d'un divorce, d'une séparation, du décès d'un des conjoints ou de la non connaissance d'un de ses parents. Les foyers monoparentaux sont constitués majoritairement de femmes, et le nombre ne cesse de grandir d'année en année.

Les problèmes liés à la famille monoparentale                                                                                        

                                   C'est un fait, la fragilité des unions parentales engrange de plus en plus de familles monoparentales. Même si les hommes ne sont pas épargnés, ce sont largement les mères qui élèvent seules leurs enfants. Hors il faut savoir que seulement la moitié d'entre elles occupent un emploi à temps complet, difficile alors de vivre dans les meilleures conditions de logement. Pour s'en sortir, 10% de ces familles vivent avec un parent. Ce ne sont pas moins de 2,8 millions d'enfants qui vivent dans une famille monoparentale. Ces mères doivent-elles faire face à d'autres problèmes ? Des revenus de travail incertains, car celles-ci sont souvent moins diplômées, et sont dans une situation moins favorable sur le marché du travail. Elles doivent en effet dépasser des contraintes en relation avec leur situation de mères seules, comme la garde d'enfants ou encore un revenu en moins de la part du père. Et quand celles-ci travaillent, elles travaillent moins en temps partiel que les mères en couple, c'est une femme sur deux qui travaille à temps complet, ce qui représente plus que les mères en couple. Ainsi, bien qu'ils existent des pensions alimentaires et des prestations sociales allouées aux familles monoparentales, celles-ci restent avec des revenus faibles, et avec un risque de pauvreté monétaire supérieur à celui des couples.

Quel est le ressenti de l'enfant en famille monoparentale ? 

                                    Certains disent qu'on ne peut pas être une mère et un père à la fois, puisque le rôle paternel est irremplaçable. Mais la véritable question est : est-ce que cette structure familiale a un impact sur les enfants ? Une étude récente du Centre de Recherche sur la Famille de l'Université de Cambridge, au Royaume-Uni, a essayé de répondre à cette question, en plus de vérifier ce que pensent, ressentent et comment se comportent les enfants d'une famille monoparentale. Les chercheurs ont ainsi évalué 50 familles de mères célibataires, qui ont été comparées à 52 familles hétérosexuelles avec deux parents et au moins un enfant âgé de 4 à 9 ans.

Alors que se passe-t-il dans la tête d'un enfant d'une mère célibataire ? À priori rien de très différent de ce qui se passe dans la tête d'un enfant élevé dans un foyer avec deux parents. L'étude montre que les enfants de mères célibataires sont bien adaptés à leur environnement et ont des sentiments positifs et bienveillants envers la vie familiale, bien qu'il est certain que ces enfants se sont posés des questions sur l'absence de leur père. 

AVANTAGES DE LA MONOPARENTALITÉ

Les avantages pour les enfants

Figurez-vous qu’il y en a plusieurs !

Un environnement sécure

La première chose à se dire, c’est que les enfants ont une grande capacité d’adaptation. Évidemment, on ne vous apprend pas grand-chose si on vous dit que les enfants qui grandissent dans un environnement familial où il y a beaucoup de tensions, de disputes, voire de violence, ne se sentent pas en sécurité et peuvent développer des angoisses qu’ils garderont pour de nombreuses années. Le premier avantage d’une famille monoparentale peut donc être de grandir dans un environnement calme et serein propice au développement de l’enfant.

De meilleures relations au sein de la famille 

                            Les enfants peuvent être fragilisés au moment du changement, nulle raison de s'en faire, cette situation est provisoire. Les parents solos accordent globalement plus d'attention à leurs enfants, car ils sont conscients de la nécessité d’être présents et à l’écoute. Grâce à votre bienveillance étant parents, ils trouveront de nouveaux repères et profiteront de la vie comme tous les autres enfants. Les études ont d’ailleurs montré que dans les familles monoparentales, les enfants sont plus proches de leurs parents que dans les modèles de famille classique. Avoir une relation saine et sécure avec votre enfant, existe-t-il quelque chose de plus important à vos yeux ?

Des compétences utiles au quotidien            

                          Les enfants qui vivent au sein d’une famille monoparentale ont souvent plus de responsabilités et d’autonomie que ceux qui vivent dans une famille nucléaire, c’est-à-dire avec leurs deux parents. Et en tant que parent célibataire, il faut forcément donner des missions aux enfants pour pouvoir s’en sortir au quotidien. Ils doivent apprendre à faire certaines choses par eux-mêmes. Le fait de leur donner une place au sein du foyer améliore leur estime d’eux-mêmes. Être mature, autonome et apprendre à tenir compte des autres dans le quotidien sont de véritables atouts pour leur vie future.

Les avantages pour les parents solos

Être seul(e) pour gérer une vie familiale peut faire peur, c’est normal. Au début, le parent célibataire peut se sentir isolé, dépassé par ses responsabilités, mais tous ces défis peuvent être relevés.


En conclusion, les enfants de familles monoparentales manifestent statistiquement davantage de difficultés que les autres, sur le plan comportemental ou scolaire. Mais il est aujourd’hui très difficile de prouver que c’est la monoparentalité en tant que telle qui constitue un facteur de risque pour un enfant.


Marie Josna Yavincie MAGLOIRE

STAFF COM BDN

samedi 2 septembre 2023

Les stéréotypes de genre, comment affectent-ils notre société?


Les stéréotypes de genre sont des croyances et des attentes sociables préconçues sur les rôles, les comportements et les caractéristiques associés aux hommes et aux femmes.

Il y a aussi les stéréotypes dans les medias, ces derniers peuvent influencer la façon dont nous percevons et traitons les personnes en fonction de leur genre, en renforçant les inégalités et les discriminations.

Dans les medias, les stéréotypes de genre peuvent prendre différentes formes. Par exemple, les femmes sont souvent représentées comme étant faibles, dépendantes, émotionnelles et centrées sur leur apparence physique. Elles sont souvent cantonnées à des rôles traditionnels de mère, d’épouse ou de femme au foyer. D’autre part, les hommes sont souvent représentés comme étant forts, dominants, rationnels et orientés vers le succès professionnel.

Ces stéréotypes de genre peuvent avoir des conséquences néfastes parmi lesquelles:

Tout d’abord, ils peuvent limiter les opportunités et les aspirations des individus, en particulier des femmes, en les poussant à se conformer à des normes relatives. Les medias peuvent également contribuer à la perpétuation des inégalités salariales, de la violence domestique et de la discrimination fondée sur le genre.

Ensuite, les stéréotypes de genre peuvent influencer la façon dont nous percevons les autres. Par exemple, si nous avons des attentes selon lesquelles les femmes sont plus douces et plus émotionnelles, nous pourrions être enclins à juger une femme qui exprime de la colère comme étant «hystérique » ou « hors de contrôle ». De même, si nous avons des attentes selon lesquelles les hommes doivent être forts et indépendants, nous pourrions ne pas prendre au sérieux leurs émotions et leur vulnérabilité.

Après, ces stéréotypes peuvent influencer nos comportements. Étant donné, les filles sont encouragées à être douces, attentionnés et à privilégier les activités domestiques, tandis que les garçons sont encouragés à être forts, compétitifs et à s’intéresser aux activités liées à la carrière ou au sport. Ces attentes peuvent limiter les choix et les opportunités des individus, les poussant à s’adapter à des rôles prédéfinis  plutôt que de suivre leurs passions et leurs intérêts réels.

De plus, ils peuvent également affecter le développement de l’estime de soi et la confiance en soi. Lorsque les individus ne correspondent pas aux attentes de leur genre assigné, ils peuvent se sentir jugés, exclus ou mal compris. Cela peut entraîner des problèmes de confiance en soi, d’anxiété et de dépression.

Enfin, ils peuvent influencer le choix de carrière et les aspirations professionnelles. Les femmes par exemple, peuvent être découragées de poursuivre des carrières dans des domaines scientifiques ou techniques en raison des stéréotypes  selon lesquels ces domaines sont plus adaptés aux hommes. D’autre part, les hommes ne peuvent dévoiler leurs passions dans les métiers manuels en raison des idées préétablies dans la société.

Cependant, il y a une prise de conscience croissante de ces stéréotypes et de leur impact négatif. De plus en plus de mouvements et d’initiatives  cherchent à promouvoir  une représentation plus diversifiée et égalitaire des genres dans les medias. Il est important d’encourager une représentation plus authentique et nuancée des hommes et des femmes, qui reflète la diversité de leurs expériences et de leurs capacités.

Après tout, nous devrions être libres de choisir nos propres intérêts, de poursuivre nos passions et de développer notre plein potentiel sans être limités par des stéréotypes de genre.

Ensuite, nous pourrions avoir un monde où chacun est respecté et valorisé pour ce qu’il est, indépendamment de son genre. Cela favoriserait également l’égalité des chances et l’élimination des discriminations basées sur le genre. Enfin, nous pourrions vivre dans un monde où la diversité est célébrée et où chaque individu est libre d’être authentique et de s’épanouir. Cela créerait un environnement plus inclusif et harmonieux pour tous.


     C’est un idéal vers lequel nous devrions nous tendre !




CLAUDJINA VALCOURT


  STAFF COM BDN

Club de Débat de Bourdon : éloquence, engagement et esprit d’équipe au rendez-vous

  Le samedi 30 août 2025, le Club de Débat de Bourdon a tenu sa séance hebdomadaire de 13h à 16h dans les locaux de la Fondation Toya, situé...