vendredi 31 mai 2024

𝗕𝗗𝗡 : 𝗟𝗲𝘀 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀 𝗲𝘅𝗽𝗼𝘀é𝘀

 


Le samedi 18 mai 2024, le Club de Débat de Bourdon a eu une séance de travail vraiment très intéressante au Centre Culturel Pyepoudre. Elle s'est déroulée de 1h à 4h et environ une trentaine de jeunes était présent.

Dans un premier temps, le moniteur a tenu à faire une sensibilisation concernant les minis exposés que présentent les orateurs lors de chaque séance. Ces derniers servent notamment à identifier les tics nerveux de chaque orateur, les mettre en compétition avec eux-mêmes et aussi observer leur évolution.

Et dans un second temps, tout comme la séance précédente, on a enchainé sur une séance de plusieurs minis exposés, au cours de laquelle une dizaine de sujet différent ont été abordé. Cet exercice consiste à présenter son sujet dans le rôle 1A du format DKP, en 6 minutes. Des thèmes importants tel que : l’autorité des profs, les médias et la démocratie, la réalité virtuelle, la réalité augmenté, le sexe et l’éco responsabilité, le marketing de contenu, la science fiction, la violence faite aux femmes ont notamment été traité...

Les minis exposés ont été au cœur de la séance de ce samedi. En effet, le moniteur tient à ce que tous les jeunes travaillent et se perfectionnent. Le club poursuit son engagement à former et à accompagner les jeunes, leur offrant ainsi un refuge où ils peuvent s’épanouir malgré les défis actuels auxquels le pays est confronté...

En conclusion, comme à son habitude la séance de ce samedi s’est déroulée dans la joie et la bonne humeur et a été un moment riche en apprentissage pour les jeunes. Tout ça dans une atmosphère de tolérance, d’harmonie er de convivialité.

Fritz André CLÉSIDOR,

Responsable communication adjoint du Club de débat de Bourdon



jeudi 23 mai 2024

𝗕𝗗𝗡 : 𝗟𝗮 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗶𝗯𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗺é𝗱𝗶𝗮𝘀 𝗦𝗼𝗰𝗶𝗮𝘂𝘅 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗱é𝘃𝗲𝗹𝗼𝗽𝗽𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲𝘀𝘀𝗲

 

Le samedi 11 mai 2024, le Club de Débat de Bourdon a eu une séance de travail vraiment très intéressante au Centre Culturel Pyepoudre. Elle s'est déroulée de 1h à 4h 30 et environ une cinquantaine de jeunes était présent.

Pour commencer, M. Pierre Vilus a donné une conférence sur les droits humains et paix durable pour tous. Il a d’abord fait l’historicité des droits humains, ensuite il a défini les droits humains et a énuméré les différentes catégories et enfin il a conclu par la phase question/réponse...

Ensuite, on a enchainé sur une séance de plusieurs minis exposés, au cours de laquelle une dizaine de sujet différent ont été abordé. Cet exercice consiste à présenter son sujet dans le rôle 1A du format DKP, en 6 minutes. Des thèmes importants tel que : violence policière, manifestation, hommes battus, complexe de cendrillon, violence sexuelle, violence conjugale, l’égoïsme, la honte ont notamment été traité...

Et pour finir, on a expérimenté le format conférence en duo. Les deux orateurs, Djouve Louis Gérald Bataille et Fritz André Clésidor, après avoir été présentés par la modératrice Safiyah Surpris, ont chacun eu 10 minutes de temps de parole pour développer le sujet suivant : « La contribution des médias Sociaux dans le développement de la presse ». Le premier orateur a défini médias sociaux et liberté de la presse, il a ensuite fait une historicité de la presse et a parlé de l’avènement de médias sociaux (NTIC) et de la liberté d’expression. Le second orateur quand à lui, a parlé de l’encadrement légal de la liberté de la presse, des filtres traditionnels des médias et comment les médias sociaux peuvent concrètement contribuer au développement de la liberté de la presse. Et pour finir, il a tenu à sensibiliser l’auditoire sur les attitudes à adopter face aux changements apportés par les médias sociaux au sein de la presse. La modératrice a ensuite coordonné la séance de question/réponse...

En conclusion, les évènements se sont enchainés à une vitesse folle lors de la séance de ce samedi, et comme à son habitude elle a été un moment riche en apprentissage pour les jeunes. Tout ça dans une atmosphère de tolérance, d’harmonie et de convivialité.

Fritz André CLÉSIDOR,

Responsable communication adjoint du Club de débat de Bourdon




samedi 18 mai 2024

𝗕𝗗𝗡 : 𝗥𝗲𝗺𝗶𝘀𝗲 𝗲𝗻 𝗾𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗿é𝗷𝘂𝗴é𝘀

Le samedi 04 mai 2024, le Club de Débat de Bourdon a eu une séance de travail vraiment très intéressante au Centre Culturel Pyepoudre. Elle s'est déroulée de 1h à 4h et environ une quarantaine de jeunes était présent.

Pour commencer, nous avons assisté à un spectacle intitulé « Traversée ». Ce dernier mettait en scène des jeunes filles qui se lamentaient sur leur sort en attendant la traversée qui leur permettrait de mettre fin à leur souffrance...

Ensuite, on a remis en question les préjugés. L'objectif était de sensibiliser les participants aux préjugés, de leur offrir des outils pour les identifier, les déconstruire et promouvoir une culture de tolérance et de respect. En effet, ce sont des opinions ou des jugements formés sans connaissance complète ou sans fondement rationnel, souvent basés sur des stéréotypes. Ils peuvent être conscients ou inconscients et affecter nos perceptions et comportements envers les autres. Après de longues discussions assez constructives, nous avons donc conclu que les préjugés sont des barrières à une société juste et équitable. En comprenant leurs origines et leurs impacts, et en mettant en œuvre des stratégies efficaces pour les combattre, nous pouvons progresser vers un monde où chacun est jugé non sur des stéréotypes, mais sur ses actions et son caractère.

Et pour finir, nous avons échangé autour du concept « Métrosexuel » qui est le fait d’admirer obsessionnellement son corps devant le miroir...

En conclusion, comme à son habitude la séance de ce samedi s’est déroulée dans la joie et la bonne humeur et a été un moment riche en apprentissage pour les jeunes. Tout ça dans une atmosphère de tolérance, d’harmonie et de convivialité.

Fritz André CLÉSIDOR,

Responsable communication adjoint du Club de débat de Bourdon




mercredi 15 mai 2024

𝗟'𝗼𝗺𝗯𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹'𝗵𝘂𝗺𝗮𝗻𝗶𝘁é.


À partir de cette image , je vais écrire un texte selon les trois aspects suivants: dénigrement , ignorance, hypocrisie. 

 

Un vieil âge stipule: une image vaut mille mots. Fort de ce constat , celle-ci ne nous laisse en outre ni différent ni perplexe. En raison de cela, nous allons dégager notre avis dans les lignes qui suivront. Pour ce faire, nous porterons notre regard sur les deux hommes dans les deux bouteilles et aussi sur l'abeille . Au travers de ces éléments figurant et constituant cette image ci , nous témoigneront selon trois points, ce qui semble être pour nous : l'ignorance, le dénigrement et l'hypocrisie que possèdent les êtres humains. 

De prime abord , ce qu'il faut à tout prix éviter : c’est le fait de juger ou de condamner n'importe comment, il revient d'avoir une vision éclairante pour mieux saisir le sens des choses . Car assez souvent on a tendance à juger l'autre, à rire dans son malheur et pourtant sa situation n'est pas différente de soi. Notre embarras peut être à un degré moindre mais pour lui encore pire. Avant de se moquer de la situation des autres, d'y prendre plaisir, prenons le soin de mieux nous analyser nous-mêmes. 

Ce travail se veut une description où apparaissent les attributs d'esprits les attributs de chaque être. À savoir que l'être humain est censé être une créature divine. Bien que les conditions les aient assujettis , mis sous tutelle. 

Dans cet état d'assujettissement, il y a la pluralité de tendances. Pas n'importe laquelle ; Une cohabitation narcissique. Oui c'est du narcissisme car à force de trop se mirer nous finissons par nous perdre dans l'illusion. 

À la vérité, je me sens privée de liberté dans un monde restreint. Et à force d'y vivre quelque fois j'en devient inconsciente de cette situation.  

C’est quand tout dépend de toi que la confiance ne règne plus. C’est lors des questions de vie ou de mort que l'hypocrisie survient le plus fort. On peut se demander pourquoi un quelconque dénigrement chez une même espèce. Est-ce dû à la jalousie, l'insécurité, ou l'énorme besoin de se sentir supérieur aux autres, ou pour tout simplement se protéger ? Des facteurs psychologiques ou sociaux? 

L'être humain est inconscient de l'énorme impact que cela possède sur la confiance et l'estime de la personne qui en subit ? 

L'ignorance: On peut rester dans une sorte d'ignorance qui ne nous permet pas d'avoir conscience de certaines choses . On peut être ignorant tout en pensant qu'on est savant. Aussi vrai que I’on ne l'aurait cru ou imaginé, notre liberté commence là où l'ignorance prend fin. L'être humain est capable de dire une chose et d'en faire une autre, leur hypocrisie découle de l'ignorance ou par manque de confiance en soi. 

L'ignorance n'est pas une fatalité bien que nous ne prenons pas conscience de cela. 

Celui qui vit sans réflexion ni rétrospection atteint d'une double ignorance qui est le fait de ne pas savoir et de vivre dans l'illusion. La véritable ignorance est le fait de ne pas savoir qui nous sommes véritablement. 

Le personnage à l'intérieur de la petite bouteille se trouvant à l'intérieur de la moyenne bouteille, qui reste bien tranquille paraît être un pur ignorant. Il peut toutefois penser qu'il est à son aise, que tout marche bien pour lui, il s'en fout de ce que l'autre pense de lui, pourtant il est enfermé quelque part, alors prisonnier dans son monde restreint. Il est rempli d'obstacles autour de lui. Non seulement il se trouve enfermé doublement , ne pouvant plus bouger et il semble être fier. Il ignore qu'il est dans une prison et qu'il n'est pas libre. On peut en faire le constat de son regard humain. 

Le Dénigrement: C'est comme un humour pervers. Celui qui dénigre est considéré comme un pervers narcissique. Il est capable de se moquer de lui-même car il manque complètement d'autodérision. Quand il utilise l'humour c'est pour se moquer des autres, les fragiliser, les attaquer voire mieux les blesser. 

Le dénigrement n'est pas une solution saine ou justifiable. Dénigrer permet de se valoriser. L'être humain doit avoir une certaine bienveillance, du respect pour lui et pour autrui et accepter nos différences. 

Le personnage se tenant dans la plus grande bouteille montrant du doigt celui dans la petite est l'image parfaite du dénigrement. Celui qui critique n'a point d'empathie pour son compagnon, car il est en train de se moquer de l'autre. Pourtant il est lui aussi à l'intérieur d'une bouteille représentant aussi sa prison.  

D'une manière ou d'une autre, il cherche à faire le faux savant. Dans son attitude toutefois il est nécessaire de comprendre que par tous les moyens, il ne se contente que d'apprendre à chercher le soleil dans les vicissitudes de la vie , pour devenir un héros, un homme dans la force donne envie. C’est en quelque sorte trouver du plaisir dans le malheur d'autrui. 

Le dénigrement de soi, lorsqu'il paraît franc et brutal, est une façon de faire mal. Il faut être capable de se blesser soi avec beaucoup de cruauté, en usant des arguments les plus justes, si l'on veut vraiment blesser l'autre . Car au fond, les hommes ont tous mal aux mêmes endroits, ils souffrent des mêmes blessures. 

“Ne dit-on pas que l'espoir fait vivre?” sans doute. On peut comprendre maintenant la présence du mur, de la frontière, nous ne sommes rien malgré tous les risques encourus. Car on se retrouve tous dans un cercle fermé où les opportunités se révèlent presque inaccessibles. 

L'hypocrisie: les hommes se trouvent à l'intérieur de deux bouteilles et les bouteilles sont transparentes. L'abeille elle- même semble se placer en position d'un éternel saveur c'est-à-dire qu'elle désire leur venir en aide. Par contre la bouteille est bien fermée mais elle fait semblant qu'elle vienne les aider pendant qu' elle connaît et voit très bien qu'elle ne pourra pas et que cela se révèle une mission quasiment impossible pour ne pas dire totalement impossible. 


Au final c'est une crise de la vie de l'esprit. J'entends ici l'expression vie de l'esprit au sens des capacités mentales et cognitives, plus précisément celle de penser. Quatre-vingt pourcent, des gens s’en fichent de vous, il ne cherche pas à vous donner un conseil ni à vous aider, de préférence ils se sentent mieux quand ils font du mal à autrui et pour la plupart ils arrivent à grandir en rabaissant l'autre. C’est l'une des raisons pour laquelle ils sont ignorants. Ils aiment dénigrer et vivent en hypocrisie avec leur entourage. À la vérité personne ne se soucie vraiment de personne. À chacun son monde. 

  

  

  

Pamella Jiennista BAZILE, Membre du club de débat de Bourdon

 







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